mardi 4 octobre 2011
Le gouvernement a abrogé trois permis d’exploration de gaz de schiste accordés en mars 2010 à Total à Montélimar et à la compagnie américaine Schuepbach en Ardèche et dans le Larzac. Cette décision fait suite au vote à l’Assemblée d’une loi visant à interdire l’exploitation du gaz de schiste par fracturation hydraulique.
« Dans les deux rapports Schuepbach, était explicitement mentionné le projet d’utiliser la fracturation hydraulique », a souligné la ministre de l’écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet. En revanche, le rapport de Total ne faisait aucune allusion à l’utilisation de cette technique interdite. Le permis accordé à la société française a alors été retoqué parce que leur « rapport n’était pas crédible », a précisé la ministre.
Les projets d’exploration avaient provoqué une levée de boucliers et une vive mobilisation de la part de riverains et écologistes, soutenus par le Conseil régional.
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